Dans les faits, les mêmes remportent toutes les couronnes, à savoir les Mercedes, car c'est bien connu "on gagne toujours à la fin", telle est la devise des Mercedes. Le roi Joffray Hamilton trône depuis presque 6 ans, trahi seulement une fois par le "régicide" Jamie Rosberg en 2016. Mais avec sa nouvelle "main" Tyrion Bottas, il ne risque plus rien et peut assoir sa domination sur le championnat.
Les ennemis jurés des Mercedes sont les Ferrari, dont la devise est "le titre vient... ou pas". Que ce soit Eddar Vettel ou son jeune "loup" John Leclerc, rien à faire, Mercedes est plus fort et leur met raclée sur raclée. Bien que le nouveau Mestre Binotto a pris ses fonctions au royaume de Maranello, rien n'a fonctionné comme prévu, aussi bien devant les anciens que les nouveaux règlements.
Bannis du trône par les Mercedes depuis plusieurs années, les Red-Bull croient à leur retour glorieux. Tout repose désormais sur un seul et unique leader : Dani Verstappen, un pilote convaincu qu'il peut tout réussir, soutenu par sa grande armée de fans hollandais qui le suivent partout. Dani Verstappen a d'ailleurs déjà conquis sa 1ère victoire, remettre son fief de Zandvoort sur la carte des couronnes à glaner pour la saison prochaine.
Peu en réussite et avec un budget moindre que les tops teams, les Renault rêvent également de victoires. Mais pour le moment, leur rôle se cantonne à rester aux aguets près du "Mur" des champions. Il faut dire qu'ils sont régulièrement mis à mal par une armée de sauvageons dont plusieurs tribus (les Haas, Alfa et Toro-Rosso) se liguent contre eux pour la 4ème place au championnat. Les hommes en jaune souffrent mais ont juré fidélité à leur serment : retrouver le passé glorieux de Renault en F1. On peut tout de même se demander sur le Mestre Abiteboul n'est pas devenu totalement aveugle. Et si finalement le plus grand danger pour Renault était les McLaren ? Les McLaren qui "marchent" enfin correctement vers le "Mur", chose rare qui n'arrive pas si souvent ces dernières années.
Au royaume plus éloigné des Racing Point, Ballon Stroll pensait tenir sa revanche sur les 7 couronnes, alors qu'il avait confié jadis son fils aux Williams. Mais depuis son retour chez papa, le petit Théon Stroll va de désillusion et désillusion et en a même perdu sa "fierté", martyrisé par le limier Pérez qui l'a sûrement dupé avec ses flatteries d'apparat.
En parlant des Williams, Lady Claire se terre dans son royaume de Grove, perché tout en haut d'un gigantesque gouffre, duquel les Williams ne semblent plus en mesure d'échapper à la vue de cette saison catastrophique. On se demande d'ailleurs si miser sur Bobby mi-main comme pilote était vraiment une brillante idée.
les pneus :
le programme TV
Dommage que Rosberg ne soit plus là, il aurait été bien en Danny 
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Hier la piste était a 50° quand même... 
